L’indispensable mort
N. Lygeros
Il nous fallait un mort pour comprendre
que le génocide de la mémoire est bien vivant.
Il nous fallait une victime pour saisir
l’ampleur de la tâche à accomplir.
Désormais nous l’avons.
Aucune excuse
ne nous sauvera.
que le génocide de la mémoire est bien vivant.
Il nous fallait une victime pour saisir
l’ampleur de la tâche à accomplir.
Désormais nous l’avons.
Aucune excuse
ne nous sauvera.